Une cuisine aux racines gasconnes
Paul Fontvielle
Paul Fontvieille, chef de cuisine aux racines gasconnes rassemble aujourd’hui des compétences culinaire pour pousser toujours plus loin sa culture de la gastronomie sur fond de toile pyrénéen.
Paul Fontvielle
Paul Fontvieille, chef de cuisine aux racines gasconnes rassemble aujourd’hui des compétences culinaire pour pousser toujours plus loin sa culture de la gastronomie sur fond de toile pyrénéen.
Avec émotion
Quand Paul Fontvieille pousse pour la première fois les portes du Palais c’est bien évidemment avec une grande émotion. Le lieu ne lui est pas inconnu. Mais l’émotion elle, est rare. Il sera ici « chez lui » un peu comme l’ont été les évêques successifs. Entouré d’un parc et de beaux jardins en paliers, le Palais offre une vue panoramique sur la chaîne des Pyrénées et la vallée du Salat. De sa vaste terrasse, il embrasse l’ensemble du Couserans. Difficile d’imaginer plus beau site pour un restaurant !
Avec émotion
Quand Paul Fontvieille pousse pour la première fois les portes du Palais c’est bien évidemment avec une grande émotion. Le lieu ne lui est pas inconnu. Mais l’émotion elle, est rare. Il sera ici « chez lui » un peu comme l’ont été les évêques successifs. Entouré d’un parc et de beaux jardins en paliers, le Palais offre une vue panoramique sur la chaîne des Pyrénées et la vallée du Salat. De sa vaste terrasse, il embrasse l’ensemble du Couserans. Difficile d’imaginer plus beau site pour un restaurant !
Un héritage gastronomique
Les grands-mères de Paul étaient toutes deux bonnes cuisinières. De Castelnaudary il garde le souvenir des fabuleux cassoulets mijotés ou du Millas à « sa façon », du sens de la cuisine simple et généreuse, abondante, préparée de produits du jardin et de basse cour. Le pain perdu – appelé de son côté pain doré – était servi les dimanches soirs par sa grand-mère Périgourdine qui, souvent autour de sa tablée, rassemblait ribambelle de cousins.
Un héritage gastronomique
Les grands-mères de Paul étaient toutes deux bonnes cuisinières. De Castelnaudary il garde le souvenir des fabuleux cassoulets mijotés ou du Millas à « sa façon », du sens de la cuisine simple et généreuse, abondante, préparée de produits du jardin et de basse cour. Le pain perdu – appelé de son côté pain doré – était servi les dimanches soirs par sa grand-mère Périgourdine qui, souvent autour de sa tablée, rassemblait ribambelle de cousins.